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Tavelure
La reconnaître
(extrait wikipédia) La tavelure est avec la moniliose et l’oïdium une des principales affections fongiques du pommier (genre Malus). Elle est causée par un champignon ascomycète nommé Venturia inaequalis (dont il existe plusieurs milliers de souches) causant des lésions noires ou brunes à la surface des feuilles, des bourgeons ou des fruits et parfois même sur le bois. Les fruits et la partie inférieure des feuilles y sont spécialement sensibles.
La maladie est favorisée par un climat humide au moment du débourrement qui permet une grande diffusion des germes nocifs. La période critique dure pendant les 8 à 10 semaines qui suivent le débourrement avec un pic au moment de la chute des pétales des fleurs qui forme des points d’entrée pour le champignon.
La maladie tue rarement son hôte mais peut réduire significativement (jusqu’à 100 %) la qualité et la production des fruits en l’absence de traitement par fongicide.
Avec le temps, des mutations du champignon responsable ont eu lieu et on compte aujourd’hui huit races principales de tavelure du pommier.
Comment s’en débarrasser ?
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Moniliose des arbres fruitiers
(Extrait Wikipédia)La Moniliose est une maladie cryptogamique des arbres fruitiers provoquée par deux espèces de champignon du genre « Monilia »: Monilia fructigena s’attaque principalement aux fruits à pépins, Monilia laxa aux fruits à noyaux.
La moniliose touche les fruits blessés (par la grêle, les piqûres de guêpes, les coups de bec des oiseaux ou les morsures d’insectes divers). Un climat humide au moment de la floraison favorise l’apparition de la moniliose. Les fruits se recouvrent alors d’une tache marron et de points blancs répartis en cercles concentriques ordonnés.
Les fruits pourrissent sur l’arbre et restent momifiés sans tomber.
La reconnaître
Presque toutes les espèces fruitières de la famille des rosacées (pommier, poirier, cerisier, prunier, pêcher, cognassier, abricotier et amandier) sont sensibles à la moniliose mais il existe des cultivars résistants à ce champignon.
Comment s’en débarrasser ?
Pour éviter la transmission de l’agent pathogène, il convient de brûler les fruits et les branches infectés loin de l’arbre. Il faut également se laver les mains après avoir touché des fruits infectés.
Le champignon hivernant dans les plaies des arbres ou dans les aspérités de l’écorce, un traitement à l’eau de chaux ou à la bouillie bordelaise peut être salutaire.
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Maladies cryptogamiques
Comment les reconnaître ?
(Extrait Wikipédia) : Une maladie cryptogamique, ou maladie fongique, est une maladie causée à une plante par un champignon ou un autre organisme filamenteux (cas des Oomycetes) parasite. Contamination : les spores des champignons se déposent sur les plantes (transportées par le vent par exemple), germent et pénètrent à l’intérieur des tissus. Le champignon passe par les orifices naturels (stomates, lenticelles) ou pénètre par des blessures (notamment celles provoquées par des insectes), ou encore il est capable de traverser la cuticule.
Période d’incubation : le champignon se ramifie et envahit les cellules des tissus ou les espaces intercellulaires.
Apparition et développement des symptômes, accompagnés de la fructification du champignon.
La plante attaquée peut dépérir (nécrose des tissus, détournement de la sève, obstruction des vaisseaux …).
Comment les combattre ?
[su_spoiler title= »Avec des engrais et des préparations » style= »fancy » open= »yes »]
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Lichen des arbres fruitiers
Comment le reconnaître ?
(Source Gerbeaud.com)Mousse et lichen sont des végétaux épiphytes (qui poussent sur d’autres plantes). Les lichens sont le fruit d’une symbiose entre un champignon et une algue. Fort résistants, ils ont la capacité de résister à de très fortes dessiccations et peuvent également survivre à des variations de température importantes (de -70 à +70 °C !).
En principe, les lichens ne sont pas nuisibles aux hôtes qui les accueillent. Ils consituent de bon indicateurs de la pollution, en ce sens qu’ils ne supportent pas le dioxyde de soufre (l’ère industrielle a d’ailleurs causé la disparition de nombreuses espèces sensibles, particulièrement en forêt).
Comment le combattre ?
Si on considère que les troncs sont envahis de manière insupportable, on peut pratiquer un brossage doux de l’écorce et appliquer du lithothamme
Oïdium
Comment le reconnaître ?
(Extrait Wikipédia) Le terme Oïdium est le nom vernaculaire donné à la forme asexuée de certains champignons appartenant à la famille des érysiphacées. L’oïdium est une maladie cryptogamique (terme qui désigne aussi le mildiou et d’autres parasites fongiques). Elle est aussi appelée maladie du blanc, causée par différentes espèces de champignons. Ces champignons sont responsables de redoutables épiphyties qui parasitent de manière plus ou moins spécifique, diverses espèces de plantes cultivées. Bien connu des jardiniers et des agriculteurs, l’oïdium s’attaque principalement à certaines espèces d’arbres comme le chêne, l’érable, le cognassier, le pommier ou l’aubépine qui y sont particulièrement sensibles.
Comment combattre la maladie ?
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Chlorose
La chlorose des végétaux est une décoloration plus ou moins prononcée des feuilles, due à un manque de chlorophylle (qui permet la photosynthèse et qui donne aux feuilles leur couleur verte). Le terme est construit à partir du grec χλωρος (chloros) : jaune-vert. Il est employé pour décrire une affection de la vigne à partir de 1880 (Extrait Wikipédia).
La reconnaître
La décoloration, dans le cas de la carence en fer, va du vert pâle au blanc-jaunâtre, en fonction de la gravité. Elle apparaît en cours de végétation (cycle végétatif), sur les feuilles les plus jeunes, au fur et à mesure de leur pousse. Les nervures principales restent relativement vertes alors que le limbe foliaire est uniformément décoloré. Il arrive quelquefois que cette décoloration s’estompe, avec l’apparition de la chaleur saisonnière. La décoloration peut affecter les vieilles feuilles en premier comme dans les cas de carences en azote, phosphore, potassium et magnésium. Après le jaunissement voire blanchiment du limbe, le dessèchement du limbe entre les nervures peut aller jusqu’à la nécrose complète de la feuille (stade cottis). Les jeunes feuilles sont atteintes les premières et, la répartition dans la parcelle peut ne pas être identique.
Comment s’en débarrasser ?
Ce manque peut provenir d’une insuffisance en magnésium, en fer, en azote, en manganèse ou en zinc, autant d’éléments indispensables à la synthèse de la chlorophylle. Cette insuffisance peut s’expliquer par l’absence de ces éléments dans le sol (carence vraie), par un pH du sol inadéquat à la plante, par un drainage insuffisant du sol (les racines noyées sont incapables d’absorber les minéraux), par une aération du sol insuffisante, par un taux de calcaire actif inadéquat ou une teneur élevée en bicarbonate du sol (carence induite par la qualité du sol), enfin un problème d’absorption : des racines endommagées ou trop compactées dans leur pot ou encore par l’usage d’herbicides pour les adventices qui affectent aussi les « bonnes » plantes, dans un jardin (carence physiologique). Enfin, l’arrosage des plantes avec l’eau du robinet peut entrainer la chlorose, du fait de la présence de chlore dans l’eau.
En terrains calcaires, le fer devient moins soluble. De ce fait, les plantes calcifuges montrent souvent des carences en fer qui se traduisent par de la chlorose
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